Thomas Gaubiac se révèle en chansons
« (…) on connaissait ce jeune artiste comme comédien.
Il s’est lancé dans l’aventure de la chanson avec égal bonheur.
(…) Il réussit à s’imposer avec une intensité et une sincérité qui emporte l’adhésion.
La voix venait du plus profond de lui-même et l’émotion était au rendez-vous.
Passant de la fantaisie à la confession à peine déguisée, il vivait ses interprétations et les donnait à vivre (…).
Entre la parole et le chant pour le plaisir de tous. »
Yves Bastide, l’Écho Républicain (2001)
Un récital attisé par le feu de la chanson-passion
« (…) Dès les premières mélodies, Thomas Gaubiac, chanteur et acteur, interprète de ses textes, a pris (…) le public du Théâtre de la Tête Noire par le cœur et l’a entraîné (…) dans les effluves de son monde où il tient à la perfection le rôle d’ambassadeur incontestable de la chanson à texte. (…).Évoquant ses doutes, sa fragilité, ses incertitudes, il sait se lover, toucher l’âme (…). Chacune de ses chanson implore l’amour et c’est u morceau de cœur qu’il offre au public. (…). Sans fard, sans pudeur, avec le cœur et le talent en prime, Thomas Gaubiac a conquis et touché le public, à fleur de peau.
Marie-Noëlle Froger, La République du Centre (2004)
Une intensité troublante
Il évolue sur la scène comme un funambule en équilibre sur le fil tendu de ses mots, porté par ses musiciens (Pierre Badaroux-Bessalel à la contrebasse, Benoît Simon aux guitares) et habillé des lumières de Nicolas Simonin qui colorent - de l’orange sanguine au violet des iris- les saisons de ses amours, ses errances du cœur, ses états d’âme. Vendredi soir, Thomas Gaubiac a offert aux spectateurs les fruits de sa résidence à Nogent. Toujours « à fleurs de peau », le chanteur se livre avec pudeur dans des textes écrits à la première personne. Des textes auxquels le piment doux de sa voix donne une intensité troublante. Une voix qui distille parfois les mots à la manière d’un délicieux venin. Thomas Gaubiac aime le cinéma, François Truffaut et Barbara…
J.L. La République du Centre (2006)
Un récital à fleur d'âme
« (…) Thomas Gaubiac chanteur n’a rien à voir avec les produits formatés et sirupeux qui déferlent sur les ondes à longueur de temps. Univers intimiste donc. Douceur de la voix, mots d’écorché vif, chansons à texte. Le chanteur est accompagné par Alexandre Leitao à l’accordéon et Pierre Badaroux à la contrebasse qui donnent une couleur tango-passion au récital. Il se fait passeur d’émotions. Celles qui se faufilent souvent en catimini dans ces petits bouts de vie qu’on appelle chansons. En quelques minutes, juste le temps d’un long soupir, ces courtes formes artistiques ont une force étonnante. »
Nataly Quémerais, L’Hebdo (Jeudi 30 octobre 2003)
Une sensibilité rare
Aujourd’hui ce sont ses propres textes qu’il a choisi de faire vivre. Thomas l’acteur est aussi auteur ! Et son épidermique sensibilité artistique s’exerce avec autant de talent dans l’une ou l’autre des disciplines.
Tout doucement, dans un bruissement d’ailes, le petit aigle noir a fait son nid. Ses prestations sont rares. Il distille ses chansons comme pour mieux faire savourer le nectar de ses mots et le miel de sa voix ! Car les textes de Thomas se dégustent avec délectation, mélange acidulé sucré.
Dans son nouveau concert, il délaisse l’accordéon au profit d’une guitare et d’une contrebasse pour apporter une touche de modernité et se démarquer d’une tonalité « rive gauche » qui a pourtant bercé son adolescence génésiaque.
Après quelques galops d’essai en concerts privés, il a donné naissance officiellement à son nouveau tour de chant lors d’une résidence de création à Nogent-le-Rotrou.
Mylène Rousseau, Votre Ville (Janvier 2006)
Portrait robot - Mettre en pause
Textes : Thomas Gaubiac
Titres enregistrés par Olivier Renet le 19/09/19